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« Comment se représenter le mot vert? Est-il gras, est-il maigre, est-il glabre, est-il velu? Brun ou blond, fille ou garçon? Souris, oiseau? Chair ou poisson? Entre la réalité et sa traduction dans notre univers mental, il y a la place pour une infinité de mots qui bourdonnent dans tous les sens et se font des petits, place pour une infinité de graphies où chacun de ces mots peut s’incarner. C’est de ce grouillement, monstrueux comme la vie, que Joinul remplit ses tableaux. C’est de lui que ceux-ci tiennent le fort pouvoir de dépaysement qui est le leur. »
Jean-Louis Lanoux, extrait du catalogue Le vert est une belle couleurve, 1994. |
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Le vert est une belle couleurve, 1993, acrylique sur toile, 210 x 155 cm | zoom
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Les verts Champollion, 1993, acrylique sur toile, 175 x 175. Musée Champollion, Vif (Isère). | zoom
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Glazadur (Bretagne), 1993, acrylique sur toile, 216 x 174 cm | zoom
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Verts de Chine, 1994, acrylique sur toile, 148 x 200 cm | zoom
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Klôros, 1993, acrylique sur toile, 150 x 160 cm | zoom
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Vert Vert, 1995, acrylique sur toile, 160 x 210 cm | zoom
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