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« En fait, c’est la pulpe du doigt dont se sert l’aveugle pour lire, et toucher, qui cette fois m’a renvoyé à l’empreinte digitale, aux anciens travaux d’Alphonse Bertillon et scientifiques consorts qui ont mis l’accent sur son intérêt, principalement dans l’identification des criminels et délinquants.
De plus, en ce siècle, “l’insécurité” n’est-elle pas au premier plan des préoccupations occidentales, avec ses dépistages biométriques, dont les empreintes digitales?
J’ai donc utilisé les miennes ainsi que celles de nombreux anonymes figurant dans des ouvrages de médecine légale. »
Extrait d’Étonnant Joinul, 2007. |
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Génocide pulpeux, 2004, acrylique sur toile, 276 x 207 cm | zoom
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Toucher la vie, 2003, acrylique sur toile, 380 x 190 cm | zoom
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Hasards non identifiables, 2005, acrylique, 116 x 81 cm | zoom
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Mur “empreinté” par des humains, 2005, acrylique sur toile, 350 x 195 cm | zoom
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Ma vie tamponnée chez les baous, 2004, acrylique sur toile, 200 x 101 cm | zoom
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Au doigt et à l’œil, de l’atelier saint-jeannois menacé par les pollutions azuréennes, 2004, acrylique sur toile, 310 x 157 cm | zoom
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Vingt mots de la vie sur trois bandes de dix mètres de long (détail), 2004, acrylique sur papier, 1000 x 46,5 cm | zoom
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Lombroso, Bertillon, 2005, collage sur carton, 45 x 50 cm | zoom
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Récital au profit des œuvres sociales de la Police, 2005, assemblage d’objets, 80 x 80 x 120 cm
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Photos de l’exposition Dactyloscopies, La vie au bout des doigts organisée en 2007 par Beaudoin Lebon à l’Espace Commines, Paris. |
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